Marie A. Denizot

 

Conception et réalisation d'installations sonores (en collaboration ou non avec d'autres artistes visuels) et compositions attenantes :

  • diffusion par déclenchement pour une écoute statique, assis ou debout (La chevelure, Ça bruisse dans ma tête, Boudoir sonore, Fauteuil végétal...)
  • diffusion par déclenchement pour une écoute en mouvement (dans des jardins, des expositions, des performances...)

Les feuilles de l'Arre

Performance début août 2022, dans le cadre de l'Art sur l'Arre.

Dépôts de feuilles d'argiles crues de différentes couleurs, porteuses de mot.

Cette performance aura son pendant vidéo très prochainement.

Danse-Errance

Performance : lecture musicalisée à la harpe par Marie Denizot, textes issus de différents recueils.

 

réalisation à Montoire, Nef Europa en mars 2018 puis lors du Festival du geste et de la performance artistique en Vendômois, le 19 octobre, atelier d'artiste rue des Quatre Huyes, avec Stéphanie Roussel (danse).

A Dollon (72), du 1er juin au 7 juillet 2019.

La chevelure

"La chevelure" est une installation sonore qui détourne un des rituels du coiffeur, le séchage sous casque.

Dans les années 70, de nombreuses femmes, souhaitant apparaître toujours avec une mise en pli impeccable, ont adopté cet objet chez elle. Un casque séchant, réplique de celui du coiffeur, sur pied, à ranger après usage.
Ma mère en avait un et l'a utilisé quelques années, le dimanche matin. Puis l'a remisé.
Changement de coiffure, changement de rituel, changement de vie.

J'ai retiré le dispositif chauffant et soufflant pour le remplacer par un haut-parleur, relié à une carte son et à un détecteur de présence qui déclenche les sons préalablement composés.
Je lui ai confectionné une perruque de chutes de bande magnétique et d'amorce, que je n'utilise plus depuis l'arrivée de l'informatique dans le son, dans les années 90.
Changement de technologie, changement d'utilisation, changement de vie.

Le sèche cheveux devait aider au frisement artificiel des cheveux, les bandes magnétiques restent désespérément raides.
U
ne utilisation du mot « perruque » est observée dans les métiers du cinéma, pour désigner l’enchevêtrement que forme une pellicule (image ou son) accidentellement débobinée.
Et « Faire en perruque » consiste à travailler pour son propre compte, en fraude, sur le temps de travail, avec les matériaux de l’entreprise. De nombreux courts-métrages, souvent militants, ont été ainsi produits, par détournement.

Cette installation s'appelle "La chevelure" en référence à un film d'Ado Kirou de 1960, d'après une nouvelle de Maupassant parue en 1884, où un homme devient délirant à la suite de sa rencontre avec une perruque de femme, longue et blonde, découverte dans un tiroir de commode.

 

La chevelure a été installée au Festival des détournements, aux ADM en 2016 et 2017.

https://www.facebook.com/FestivalDetournementsObjets/

http://www.memyselfandi.sitew.fr/#Marie_Denizot.C

Un reste de rien

La Terre.
                  Coupes géologiques verticales et horizontales.
L'Homme.
                   Un rien qui laisse des traces.


Ces bannières font écho au livre d'artiste "Rappelle-toi".

 

Après les Ateliers de la Rampe durant "Mots effleurés #2" à Vendôme en juin, l'installation a pris ses quartiers d'été à Trôo (41) dans le cadre d'Étéphémère - ExTrôoterrestre, sur les murs d'un ancien corps de ferme au 16 rue du Château.

Ça bruisse dans ma tête

Sonorisation d'une sculpture cinétique de Bruno Bompas.

 

Galerie E(co)tone à Vendôme,  mars 2017.

Bruno Pompas

Boudoir sonore

S'asseoir sur un canapé, protégé des regards, dans une quasi obscurité et se laisser aller aux sons de la douche sonore.

Boudoir sonore      Douche sonore

Exposition à Ouchamps

Vidéo réalisée à partir de photos lors de l'exposition à Ouchamps, en avril 2012.

Musique : improvisation sur le thème de l'absence par Françoise Pons, voix, Jacques Simony, flute, Marie Denizot, harpe.

Installations visuelles


 

  • « Prélude et fugue » ou « Refuge d'étape », poème sur papier blanc et papier calque superposé (5 panneaux, 60x250cm, ou 90x350cm), 2010.

    A la découverte des refuges d'art d'Andy Goldworthy, la balade initiale s'est révélée initiatique.

    Fusion avec le monde.

    La superposition du calque fait apparaître, au gré du regard, une pluralité de lecture.

 

  • « ineffables absences » 2013, 9 poèmes en grand format, suspensions d'encres (naturelles et industrielles) sur papier de soie

Absence des êtres

Absence au monde

Présence discrète des ombres

Présence vitale

 

 

    Portraits d'absents, morts ou loin. Inclus les 5 « Quelqu'un » : cinq personnes, ayant une influence majeure dans ma vie. Associés intimement à nos 5 sens.

 

  • « Divagations paysagères », 5 quatrains (42x100cm),

    encres et pigments sur carton plume, 2015.

 

  •  « Transparences intimes », 2 poèmes sur plexiglas (80x60cm),

    papier découpé sur carton, 2015.

      Autre volet du petit format. Dévoilement du secret par la transparence ? Pas sûr.

  • Sur la route de chacun, trouver des mots pour dire que la fin inéluctable implique de jouir

    de chaque pas.

     

Eté 2018

 

  • Lecture de textes issus de Au bout de la nuit, le jour, nécessairement (édition Delatour France), Rappelle-toi (recueil avec linogravures originales, imprimé à L'atelier sous les arbres  du Monteils, en Cévennes) et Ailleurs (issu de l'Anthologie de la Maison de la poésie de la Drôme).

 

14 juillet : à "La Beaudelie" en Corrèze, installation poétique et déambulation parmi des mots, des traces et des sons.

Avec Antonia Soulez, Laurence Bouckaert, Pascal Marzan et Jean-Marc Chouvel. 

La Tour du guet-Visions contemporaines

 


24 juillet : à Sète, les "Apartés", lecture musicalisée en appartement. Organisée par les Editions de l'Aigrette. 


  • Performance danse et musique : 1er juillet, coulée verte René Dumont Paris, Art en balade.


  • Ateliers Portes Ouvertes de Ménilmontant : 27 au 30 septembre, ADM

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